"Je ne te voulais que du bien, bizz" est une phrase type de rupture d'un de ces désolants. Elle dénote une forme de lâcheté qui surprend, de part son ampleur. On avait oublié. De cette faculté qui vous permet de retenter une expérience dont les conséquences ont été douloureuses. Puis le fruit de cette expérience revient. On se souvient qu'il est le geste, son impact, les paroles que l'on ne se doit plus de tenir, des paroles en l'air. On entend que les sentiments peuvent bien être fugaces quand ils se mesurent à de l'intérêt, se vivant de manière superficielle, molle et imperméable. On sait douter.

De ma perspective, il est tristement vrai que la personne ne m'avait pas inspiré les trente-six chandelles. Elle ne m'avait provoqué aucunes de ces hallucinations que l'on peut s'attendre à subir de l'état amoureux, ou même de la déraison, de ce vertige de l'âme qui obsède et vous poursuit de l'éveil jusque dans vos rêves les plus intimes. Je l'avais pourtant ardemment souhaité. En lieu et place, une sorte d'envahisseur qui impose, vous demande moult justification. Un homme qui vous veut son obligée et s'effarouche si vous ne vous aplatissez pas devant sa science et ne vous immergez pas religieusement dans son puits, prononçant un pieux "Amen".

L'un dans l'autre, j'étais fière d'avoir tenu mes positions; une baffe narcissique certes, notre liaison ne devait pas survivre aux blessures que je provoquais à ce pauvre monsieur. Il était toutefois aussi l'opportunité de renforcer mon ego quelque peu défaillant. S'il ne m'était plus possible d'accorder ma confiance aveuglément, je ne lui avais donc pas laissé l'occasion de se servir de mon travail avant qu'il ne prouve sa bonne foi, en particulier dès lors que mon intimité n'était pas respectée. Ma technique, la sculpture de ma forme numérique, j'avais su la préserver, une première! Mais dès lors, ses bonnes intentions, même, surtout les meilleures, se retournent contre moi.

Je me foutais royalement de tous ces panneaux plus ou moins inspirés. De la reprise, un style copié-collé massivement et devenant lourdingue parce qu'il est plat, lâche, numérique. C'est une pompe à talent et dont il ne ressort qu'un vague truc qui n'a plus d'odeurs. Comme si les idées avaient besoin de se voir emprisonnées dans un cadre, qui s'il est artificel, n'en reste pas moins réel.

Tu veux de l'image? Des mots-clefs ravageurs? Une mélodie? Mais qu'as-tu à échanger, l'ami, qui me soit nécessaire et que tu ne m'as pas encore emprunté? Moi j'écris, je pense, je monte de ce fameux cadre, adapté quand il ne sert pas à étouffer son contenu. Puis de l'un et de l'autre, un - c'est un ensemble - suivant que tu observes, redécoupes et reportes à l'envi de ton compte bancaire et ceux de tes partenaires de haut vol.

De gratter la surface et il n'y a rien de nu. Pas de roi, pas un vieux chêne l'hiver venu, ni l'objet de profonds désirs et soi. Il n'y a que des blessures gratuites couvertes par un sparadrap propre; il n'est aucun sens à la peine ou de la valeur accordée à la tâche accomplie. Le travail n'a donc plus effectivement cours. Je végète, je me sens exsangue, et moi je suis en effet nue, esclave.

Cascading Style Sheets (CSS), littéralement feuilles de style en cascade, est un langage de feuilles de style utilisé pour décrire la présentation d'un document écrit en HTML ou XML (cela inclut divers langages XML comme XHTML ou SVG).

CSS est l'un des langages clefs du Web ouvert et il est standardisé par une spécification W3C. Développé par niveaux, CSS1 est maintenant obsolète, CSS2.1 est une recommandation et CSS3, découpé en plusieurs modules, suit le processus de standardisation. Les premiers brouillons pour les modules CSS4 sont en cours d'écriture.

Dans les produits basés sur XUL comme la suite Mozilla, Firefox ou Thunderbird, CSS est aussi utilisé pour styler l'interface utilisateur de l'application. Par exemple, les thèmes utilisent intensivement les CSS pour personnaliser l'apparence de l'application...